GUITERA-les-BAINS Photographie de Corsicavo
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Un’ parla di razza, in casa di bastardu (Ne parle pas de lignée, dans une maison de bâtards. Proverbe très connu et plein de bon sens, il fait allusion au fait qu’ il est parfaitement inconvenant de faire référence à l’ honneur, à la réputation à propos ou pour une famille (ou quelqu’ un) qui a beaucoup à se reprocher et qui ne cesse de défrayer la chronique des mauvais faits divers. On dit aussi qu’ il ne faut pas mélanger les torchons et les serviettes. (Mathieu LUCIANI)
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Un’ si po fa pane senza farina (on ne peut faire de pain sans farine. En effet, si on a des prétentions, il faut qu’ elles soient en rapport avec nos capacités et nos moyens. Rien ne sert de se vanter, il faut encore prouver, sinon on se tait. (Mathieu LUCIANI)
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Un’ si sa mai da u bè, da u male (du bien ou du mal, on ne sait jamais. En effet, comment savoir ou prévoir comment tournera une affaire, un mariage. Comment savoir, une fois une décision prise, si elle nous réservera du bonheur ou de la déception. (Mathieu LUCIANI)
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Un’ tucca babbu ch’ appia figlioli (ne touche pas à un père qui a des enfants Inutile ici d’ expliquer le sens, le père étant sacré, celui qui veut lui causer des ennuis risque évidemment de s’ attirer de la part de ses fils, des désagréments sérieux. (Mathieu LUCIANI)
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Vale piu una dona che un casale (une femme vaut mieux qu’ un patrimoine. A condition, bien sûr, qu’ elle soit honnête, travailleuse, sérieuse et qu’ elle sache bien gouverner son foyer. (Mathieu LUCIANI)
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Vesti un steccu, pare un vescu. (Habille un morceau de bois, il ressemble à un évêque.)
Murtulina
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