U’ è colpa di a gatta, s’ è a patrona è matta (Ce n’ est pas la faute du chat, si la ménagère est folle. On disait cela à propos d’ une femme peu soigneuse, étourdie, laissant tout traîner, gouvernant mal son foyer, à tel point que parfois le chat dérobait la viande laissée sur la fenêtre ou sur la table. (Mathieu LUCIANI)
http://accademiacorsa.org/?page_id=81
|